Cognac Grosperrin - Dégustation rue de Sèvres
Jolie dégustation rue de Sèvres autour des cognac Grosperrin.
Pas de notes et peu de repères, mes impressions seront donc très succintes.
Le premier est une Petite Champagne Le Roch VSOP, très fruitée, fraiche, aérienne sur la langue.
Le second malheureusement m'échappe et porte un nom plus marketing. Il est très différent, boisé cette fois.
Les suivants sont de la collection Grosperrin avec d'abord un Bois Ordinaires de l'île d'Oléron 1989. Plus fin que le précédent, un peu iodé (facile je sais ! Oléron, toute suite...!). En tout cas plus minéral, salin (oui, facile aussi !).
On passe ensuite au 1946 (ou 1948 mais je ne crois pas), qui m'a semblé trop puissant, moins fin.
Et pour finir une incroyable Fine Champagne XO de 1928 (collection Mestreau). Ce cognac a un goût très subtil de raisin de corinthe mais surtout un comportement en bouche merveilleux. Il fond comme un nuage sur la langue et développe des aromes d'une grande finesse avec une sensation d'alcool très délicate.
Robe plus ambrée en réalité.
Je n'ai pas goûté le reste, cela faisait trop !
Désolé pour ce compte rendu archi succinct mais je n'ai aucune compétence de dégustation en spiritueux. La larmichette (6 gouttes !) qui est servie (inévitable me direz-vous, sinon en en sort KO !), ne me permet pas de fixer mon attention. Certes la persistance est considérablement plus persistante qu'avec les vins (en tout cas puissante) mais...et puis sans prise de notes, je n'y arrive pas !